N’éludez pas la question
Les bons écrivains n’éludent pas les questions difficiles – ils vivent pour pouvoir y répondre.
Les bons écrivains n’éludent pas les questions difficiles – ils vivent pour pouvoir y répondre.
Le thème du dernier bœuf, « Tendres mutants », a inspiré beaucoup de membres du Club, et je ne crois pas que ce soit seulement dû à ce qu’unissant deux mots a priori distants, il créait un espace vierge où l’imagination pouvait s’épanouir. (Note à moi-même : on reconnaît l’intérêt d’un thème à ce genre de grand écart sémantique.) Car l’imagination ne peut croître sans une pratique régulière et opiniâtre, ni la confiance mutuelle qui s’est développée entre nous au fil de ce compagnonnage nonchalamment guidé par votre serviteur.